Vendredi 9
janvier 2015
Je suis à côté de ta
mère. Nous sommes en route, pardon en rail pour Marseille dans le but de te
voir.
Dans quel état allons-nous
te trouver.
Le bulletin
téléphonique d’hier était alarmant. D’ailleurs je me suis effondré. Tu étais
pratiquement au même stade que dimanche. Ton PIC adore le yoyo. Ta mère et moi
non.
Heureusement que je
n’avais pas l’ordinateur sous la main car j’aurais écrit avec mes larmes. Ce
matin je vais mieux .
Je repense à toutes
les conversations que nous avons eues. Conversations souvent tronquées, car ton
éducation était pour moi la priorité. Donc je filtrais mes pensées afin
qu’elles calquent mes orientations éducatives. J’attendais avec impatience que
tu voles de tes propres ailes afin que nous échangions des idées sans ce putain
de filtre. A cette heure j’y crois encore.
Bisous
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